Premier écrit;
Cher journal,
je dois tout de suite mettre les choses au clair, faire un journal c'est un peu ridicule pour moi voir peu prudent. Un carnet dans lequel vous marquez vos secrets les plus intimes ? Et s'il venait à tomber entre de mauvaises mains hein ? Votre destruction suivie de votre mort sociale sera alors toute proche. Surtout au vu de notre secret familial. Mais bon d'après ma mère il parait que ça serait une bonne idée que je mette mes pensées sur papier pour "y voir plus clair, me retrouver et m'aider à surmonter mes problèmes". Oui, c’était exactement ses mots. Je n'avais pas pour habitude inébranlable de faire tout ce que me disait ma mère même si j'essayais de la rendre fière de moi mais après tout même si je trouvais cette idée de journal intime vraiment nulle, ça ne me coûtait rien d'essayer non ? Alors voilà, je suis en train d'écrire avec un stylo à encre sur ce cahier tout neuf avec ses belles pages blanches toutes lisses. Non mais qu'est ce qui me prends ? Je rêve ou je suis en train de parler de pages lisses ? J'ai l'impression d'être une vraie fille! Bah oui quoi, je n'ai jamais été ce genre de fille. Je suis plus du genre à être une fille d'action et non une fille qui passe des heures à se mater devant un miroir. Désolée mais j'ai horreur de me laisser distraire par des futilités tu le verras vite. Ma mère prétendait que c'était parce qu'au fond de moi j’étais fragile et sensible, que j'avais l'air si perfectionniste et si obsédé par la perfection. Mais passons...
Second écrit;
D’accord, j'ai menti. Je suis désolée et en plus j'ai mis plus d'un mois à le reconnaître. Non mais regardez-moi, je suis en train de présenter mes excuses à un stupide cahier (pardon pour ça aussi), il y a vraiment quelque chose qui cloche chez moi. Je n'arrive pas à me dire que papa nous ait abandonné moi et maman. Voilà c'est dit. C'est pour cette raison que maman m'a conseillé de mettre au clair ce que je ressentais grâce à ce cahier. [ça évite aussi selon elle que je fasse n'importe quoi moi la petite geek rebelle.] Mais l'autre fois j'ai... Je sais pas je n’ai pas pu le dire vraiment. Il est vrai que cela fait un moment mais le seul souvenir remonte à longtemps. Ma vie a toujours été parfaite en sois outre ces derniers temps difficiles à découvrir le secret de ma mère. J'ai la meilleure famille au monde c'est ce que je dois me dire et même si en réalité, j'ai toujours détesté ma famille. Je préfère craquer sur un journal et me montrer forte.
Mon père et ma mère se sont rencontrés au lycée et ne se sont plus jamais quittés. Un si bel amour. Surtout que mon père avait accepté la nature de ma mère. Dire à un homme qu'en réalité la nuit elle combat le crime, ce n'est pas facile à gober et surtout à surmonter. Mais lui, il s'en fichait. Il l'aimait. Jusqu'à ce jour-là. Ma mère Kate et mon père Jack décidèrent de se séparer. Pour le bien de tout le monde... Enfin c'est ce qu'ils m'ont dit. J'ai un manque. C'est comme si j'avais un vide, un gouffre qui s'était ouvert dans ma poitrine. Et quand je ris, quand je souris ça ne dure qu'une seconde avant que mon rire, mon sourire ne soient engloutis pour ce gouffre si profond lorsque je croise une famille unie. Il ne fait pas mal, il est juste là, aspirant tout ce que je pourrais ressentir en quelques instants. La joie, le chagrin, la culpabilité, la colère, le désespoir. Est-ce que ça fait de moi un monstre journal ? De ne pas pouvoir être triste ? Mais est ce que je ne suis en effet pas triste ou est-ce ce gouffre qui m'empêche de ressentir quelque chose ? Mes larmes coulent mais je ne sens rien, je ne suis rien. D'ailleurs excuse-moi pour les traces de larmes sur le texte. En y repensant je fais tellement fille en t'écrivant, tiens ça me fait rire... En fait mon père a été tué, tu sais...Ils...Ils ne se sont pas séparés comme elle me l'a dit. Simple vengeance de la par d'un ennemi à ma mère. Je n'avais que 6 ans à l'époque. Et depuis ce jour, je passe mon temps toute seule à la maison. Heureusement qu'il y a l'école. Parfois, elle me laisse chez une amie proche de ma mère. Je déteste même si elle reste très gentille.
troisième écrit ;
Cher journal,
excuse-moi pour cette longue absence... J'imagine que j'avais besoin de réfléchir à propos de tout ça, seul. tourner la page comme dirait maman. Le gouffre est toujours là mais je le sens beaucoup moins. C'est comme s'il s'estomper peu à peu. J'arrive à rire, à sourire, à me mettre à colère ou à être con sans que ce vide n'aspire tout. C'est le signe que je vais mieux tu penses ? Je l'espère. J'avance, je tourne la page peu à peu, je commence à l'accepter. Ecrire m'a fait du bien. Et puis j'ai d'autres chat à fouetter. En effet, j'apprend de jour en jour à devenir une informaticienne et à créer ma vie. J'ai encore eu des bas car maman a disparu. J'ai longtemps boudé ce qu'elle représentait. J'ai même mis au placard son costume. J'avais encore mes études à finir.
Quatrième écrit;
Cher journal,
voilà, j'ai eu mon diplôme et avec de l'avance. Je suis assez fière de moi d'être un petit génie. Ok, je me jette des fleurs mais je n'ai plus personne pour le faire à ma place. Bon d'accord, je ne suis pas sans famille. J'ai appris que j'avais des liens de parenté avec la famille Wayne. En fouillant dans les vieilles affaires de maman, j'ai découvert qu'elle était la cousine de Bruce Wayne. Elle m'avait même laissé un mot me dévoilant qu'il était Batman et qu'elle l'aidait beaucoup. Si un jour je me retrouvais toute seule, il fallait que j'aille le voir. En fouinant sur le net, j'appris par la suite qu'il ne restait que la fille de Bruce Wayne. Une certaine Eliana Wayne. J'avais une cousine, belle, riche et intelligente. Je n'étais pas sûr du tout qu'elle et moi on s'entendrait. J'étais l'opposée d'elle du moins c'est ce que je croyais. Mais qui ne tente rien n'a rien comme on dit. Et tu sais quoi, j'avais décidé de prendre ma vie en main au lieu de me morfondre dans mon coin. Je découvris donc qu'un poste était libre au sein de la Wayne Entreprise. Et la chance me sourit car, il cherchait un ingénieur informaticien. Je décidais donc de postuler.
Cinquième écrit;
Cher journal,
J'ai fini par être embauché dans l'entreprise Wayne sans difficulté. Je n'ai pas encore dit à Eliana qui j'étais réellement par peur sûrement. Parfois je suis assez bête. Je suis plus sûr de moi quand je deviens Batwoman. Car oui, je me suis enfin décidé à reprendre le flambeau de ma mère et de ma vie si misérable. Je trouverais sûrement le bon moment pour parler à ma cousine tout en gardant mon identité secrète. Il y a tellement à faire dans cette nouvelle ville. Je ne sais pas si je serais à la hauteur comme Kate Kane mais je lui ferais honneur.
Cher journal,
je dois tout de suite mettre les choses au clair, faire un journal c'est un peu ridicule pour moi voir peu prudent. Un carnet dans lequel vous marquez vos secrets les plus intimes ? Et s'il venait à tomber entre de mauvaises mains hein ? Votre destruction suivie de votre mort sociale sera alors toute proche. Surtout au vu de notre secret familial. Mais bon d'après ma mère il parait que ça serait une bonne idée que je mette mes pensées sur papier pour "y voir plus clair, me retrouver et m'aider à surmonter mes problèmes". Oui, c’était exactement ses mots. Je n'avais pas pour habitude inébranlable de faire tout ce que me disait ma mère même si j'essayais de la rendre fière de moi mais après tout même si je trouvais cette idée de journal intime vraiment nulle, ça ne me coûtait rien d'essayer non ? Alors voilà, je suis en train d'écrire avec un stylo à encre sur ce cahier tout neuf avec ses belles pages blanches toutes lisses. Non mais qu'est ce qui me prends ? Je rêve ou je suis en train de parler de pages lisses ? J'ai l'impression d'être une vraie fille! Bah oui quoi, je n'ai jamais été ce genre de fille. Je suis plus du genre à être une fille d'action et non une fille qui passe des heures à se mater devant un miroir. Désolée mais j'ai horreur de me laisser distraire par des futilités tu le verras vite. Ma mère prétendait que c'était parce qu'au fond de moi j’étais fragile et sensible, que j'avais l'air si perfectionniste et si obsédé par la perfection. Mais passons...
Second écrit;
D’accord, j'ai menti. Je suis désolée et en plus j'ai mis plus d'un mois à le reconnaître. Non mais regardez-moi, je suis en train de présenter mes excuses à un stupide cahier (pardon pour ça aussi), il y a vraiment quelque chose qui cloche chez moi. Je n'arrive pas à me dire que papa nous ait abandonné moi et maman. Voilà c'est dit. C'est pour cette raison que maman m'a conseillé de mettre au clair ce que je ressentais grâce à ce cahier. [ça évite aussi selon elle que je fasse n'importe quoi moi la petite geek rebelle.] Mais l'autre fois j'ai... Je sais pas je n’ai pas pu le dire vraiment. Il est vrai que cela fait un moment mais le seul souvenir remonte à longtemps. Ma vie a toujours été parfaite en sois outre ces derniers temps difficiles à découvrir le secret de ma mère. J'ai la meilleure famille au monde c'est ce que je dois me dire et même si en réalité, j'ai toujours détesté ma famille. Je préfère craquer sur un journal et me montrer forte.
Mon père et ma mère se sont rencontrés au lycée et ne se sont plus jamais quittés. Un si bel amour. Surtout que mon père avait accepté la nature de ma mère. Dire à un homme qu'en réalité la nuit elle combat le crime, ce n'est pas facile à gober et surtout à surmonter. Mais lui, il s'en fichait. Il l'aimait. Jusqu'à ce jour-là. Ma mère Kate et mon père Jack décidèrent de se séparer. Pour le bien de tout le monde... Enfin c'est ce qu'ils m'ont dit. J'ai un manque. C'est comme si j'avais un vide, un gouffre qui s'était ouvert dans ma poitrine. Et quand je ris, quand je souris ça ne dure qu'une seconde avant que mon rire, mon sourire ne soient engloutis pour ce gouffre si profond lorsque je croise une famille unie. Il ne fait pas mal, il est juste là, aspirant tout ce que je pourrais ressentir en quelques instants. La joie, le chagrin, la culpabilité, la colère, le désespoir. Est-ce que ça fait de moi un monstre journal ? De ne pas pouvoir être triste ? Mais est ce que je ne suis en effet pas triste ou est-ce ce gouffre qui m'empêche de ressentir quelque chose ? Mes larmes coulent mais je ne sens rien, je ne suis rien. D'ailleurs excuse-moi pour les traces de larmes sur le texte. En y repensant je fais tellement fille en t'écrivant, tiens ça me fait rire... En fait mon père a été tué, tu sais...Ils...Ils ne se sont pas séparés comme elle me l'a dit. Simple vengeance de la par d'un ennemi à ma mère. Je n'avais que 6 ans à l'époque. Et depuis ce jour, je passe mon temps toute seule à la maison. Heureusement qu'il y a l'école. Parfois, elle me laisse chez une amie proche de ma mère. Je déteste même si elle reste très gentille.
troisième écrit ;
Cher journal,
excuse-moi pour cette longue absence... J'imagine que j'avais besoin de réfléchir à propos de tout ça, seul. tourner la page comme dirait maman. Le gouffre est toujours là mais je le sens beaucoup moins. C'est comme s'il s'estomper peu à peu. J'arrive à rire, à sourire, à me mettre à colère ou à être con sans que ce vide n'aspire tout. C'est le signe que je vais mieux tu penses ? Je l'espère. J'avance, je tourne la page peu à peu, je commence à l'accepter. Ecrire m'a fait du bien. Et puis j'ai d'autres chat à fouetter. En effet, j'apprend de jour en jour à devenir une informaticienne et à créer ma vie. J'ai encore eu des bas car maman a disparu. J'ai longtemps boudé ce qu'elle représentait. J'ai même mis au placard son costume. J'avais encore mes études à finir.
Quatrième écrit;
Cher journal,
voilà, j'ai eu mon diplôme et avec de l'avance. Je suis assez fière de moi d'être un petit génie. Ok, je me jette des fleurs mais je n'ai plus personne pour le faire à ma place. Bon d'accord, je ne suis pas sans famille. J'ai appris que j'avais des liens de parenté avec la famille Wayne. En fouillant dans les vieilles affaires de maman, j'ai découvert qu'elle était la cousine de Bruce Wayne. Elle m'avait même laissé un mot me dévoilant qu'il était Batman et qu'elle l'aidait beaucoup. Si un jour je me retrouvais toute seule, il fallait que j'aille le voir. En fouinant sur le net, j'appris par la suite qu'il ne restait que la fille de Bruce Wayne. Une certaine Eliana Wayne. J'avais une cousine, belle, riche et intelligente. Je n'étais pas sûr du tout qu'elle et moi on s'entendrait. J'étais l'opposée d'elle du moins c'est ce que je croyais. Mais qui ne tente rien n'a rien comme on dit. Et tu sais quoi, j'avais décidé de prendre ma vie en main au lieu de me morfondre dans mon coin. Je découvris donc qu'un poste était libre au sein de la Wayne Entreprise. Et la chance me sourit car, il cherchait un ingénieur informaticien. Je décidais donc de postuler.
Cinquième écrit;
Cher journal,
J'ai fini par être embauché dans l'entreprise Wayne sans difficulté. Je n'ai pas encore dit à Eliana qui j'étais réellement par peur sûrement. Parfois je suis assez bête. Je suis plus sûr de moi quand je deviens Batwoman. Car oui, je me suis enfin décidé à reprendre le flambeau de ma mère et de ma vie si misérable. Je trouverais sûrement le bon moment pour parler à ma cousine tout en gardant mon identité secrète. Il y a tellement à faire dans cette nouvelle ville. Je ne sais pas si je serais à la hauteur comme Kate Kane mais je lui ferais honneur.